Bon nombre de catholiques croient pouvoir affirmer que le concile Vatican II et les réformes officielles qui ont suivi comportent une part d’infidélité à la doctrine catholique transmise jusqu’alors. (Cette critique ne vise pas les abus commis par des membres de l’Église, pas même les déviations de certains membres de l’épiscopat.)

Une question a surgi suite à cette critique : que devient l’autorité de l’occupant du siège de Rome qui engage sa responsabilité officielle dans ces changements inacceptables au regard de la foi catholique ?

À la lumière de la foi, l’abbé Lucien répond à cette question. Évitant toute conclusion hâtive dans un domaine où les conséquences sont très graves, il écarte les argumentations fondées sur des opinions de théologiens : opinions sans doute respectables mais insuffisantes pour emporter l’adhésion théologale.